Le bilan que je fais de ce que je connais de Philippe Djian est plutôt dans le genre mitigé. J'avais aimé "Impuretés" et pas du tout "Assassins". "Oh... ", son vingt cinquième roman ( le vingtième si l'on considère les six volumes de "Doggy Bag" comme un seul). Il a obtenu le prix interallié en 2012 (Mais bon ! Zeller, d'arvor et Beigbeder aussi...).
Dans ce roman, Djian se met dans la peu d'une femme, Michèle, qui va connaitre quelques semaines mouvementées. Elle se fait violer, chez elle par un inconnu. Son père, un tueur de masse est en train de mourir en prison. Sa mère qui a connu des périodes de prostitution s'installe avec un homme de 40 ans son cadet. Son fils a décidé de s'installer avec une fille de 100 kg dont il veut reconnaître le fils et dont le père naturel croupi dans une prison pour trafic de droque. ses deux derniers (son fils et sa mère vivent plus ou moins à ses crochets). Michèle entretien une relation avec le mari de sa meilleure amie.