mercredi 25 mars 2009

"31 songs" de Nick Hornby.

J'aurai du me mefier ! 2 euros sur ebay et je deviens propriétaire de ce livre. Non que ce livre ne soit pas bon - encore que - mais ce n'est pas un roman. C'est l'inventaire des 31 chansons préférées de Nick Hornby. Passionnant !

Je ne l'ai même pas terminé. En plus je l'ai acheté en anglais sans le savoir. D'où le prix peut-être. A réserver vraiment aux fans de Nick Hornby, sinon l'interêt est tout de même assez limité.

samedi 21 mars 2009

Catherine Nay sur Europe.

Mon dieu ! Quelle horreur !
Comment l'intérieur peut-il être encore plus moche que l'extérieur ? Ce matin, elle a commenté la mobilisation d'hier sur la baisse du pouvoir d'achat. Elle nous a expliqué que le peuple français, non content d'être le seul du monde à être profondément anti-mondialisation, est aussi le seul à se plaindre de la crise !
Cela viendrait de notre passé révolutionnaire ! Pas du sien ! Elle n'est pas du même monde que nous.
Et elle nous sort des énormités sur le service minimum, les bonus des cadres des entreprises...
C'est puant, moche, snob, de droite très très à droite. C'est vrai qu'avec ses fréquentations, son environnement de travail , son mari, on ne s'attend pas à ce qu'elle se préoccupe des soucis bassement matériels des français.
Et puis, comment arrive-t-on à faire de la radio avec une voix pareil. La chirurgie esthétique n'existe pas encore pour la voix. Heureusement d'ailleurs, parce quand on voit ce qu'elle a fait avec son visage... On dirait un frère Bogdanov. Surement que son véritable visage de femme de 65 ans serait plus avenant que ce morceau de plastique qui le remplace.
Le podcast n'est pas encore en ligne. Dommage !
J'écoute habituellement une autre radio le matin. Hop ! j'y retourne. Bye bye Europe 1.

vendredi 20 mars 2009

"Portrait du Gulf Stream", d'Erik Orsenna.

Entre Erik Orsenna et moi, ça a débuté il y a une vingtaine d'années, à l'époque de "L'exposition coloniale", roman qui a reçu le prix Goncourt en 1988. Comme quoi, il peut être décerné à de bons romans de temps en temps. A l'époque, j'étais au lycée à Laon en 1ère. Ma prof de français de l'époque, Madame Cani nous demandait de lire des livres parmi une grande liste de titres qu'elle nous fournissait, puis de faire une fiche de lecture sur ces livres. En nous précisant que l'on pouvait également lui proposer des romans qui n'étaient pas sur sa liste en la prévenant à l'avance afin qu'elle puisse lire ces livre et être en mesure de nous noter. Je fais remarquer en passant le grand professionnalisme et de cette prof... Etant en train de finir "L'exposition coloniale", j'annonce à ma prof que je ferai une fiche de lecture sur ce roman, ce qui me permettait de ne pas mire en plus un livre de la liste. Et comme promis, elle le lut. Je ne me souviens pas de la note qu'elle m'a mise mais je me rappelle de son commentaire sur ma copie qui disait en substance : "Vincent, je ne vous remercie absolument pas de m'avoir fait lire ce pénible pavé de plus de 800 pages". Madame Cani, que j'ai vu par hasard dans un journal télévisé sur France 3 est docteur en littérature, chargée de cours à l'université de Clermont -Ferrand, spécialiste de la littérature de jeunesse et l'auteur, entre autre, d'un essai sur Harry Potter, ne partageait donc pas mon amour naissant pour Erik Orsenna.

mardi 3 mars 2009

"Un homme presque parfait", de Richard Russo.

Encore une découverte chez 10/18 dans la collection "Domaine étranger", décidément une formidable source de bonnes surprises. Richard Russo est un écrivain américain né en 1949 dans l'état de New York. Titulaire d'un doctorat de philosophie et d'un Master of Fine Arts, il devient professeur de littérature avant de se consacrer exclusivement à l'écriture au milieu des années 80. "Un homme presque parfait" est son premier roman traduit en français. Il a été adapté au cinéma avec notamment dans les rôles principaux Paul Newman et Melany Griffith. Mais c'est avec son roman "Le déclin de l'empire Whiting" (2002), lauréat du prix Pulitzer, que Richard Russo commencera à se faire connaitre en France. Et c'est avec ce dernier que j'ai découvert cet auteur. Cet auteur malheureusement peu prolixe. Un livre tous les 5-6 ans, c'est pas tout à fait Balzac...