jeudi 18 juillet 2013

"Je vais mieux", de David Foenkinos.

Le dernier livre de David Foenkinos que j'avais lu était "Le potentiel érotique de ma femme". Je n'avais pas vraiment aimé malgré le succès du livre à l'époque, mais j'ai quand même décidé de lire une deuxième œuvre de l'écrivain, on se sait jamais. 

David Foenkinos est né en 1974 à Paris. Très prolifique, il a publié une douzaine de romans en autant d'années. Ses romans se vendent énormément et sont traduits en de nombreuses langues étrangères.


Le narrateur, alors qu'il dîne tranquillement avec son épouse Élise et un couple d'amis, Sylvie et Etienne, est pris d'un élancement dans le dos. Une douleur lancinante qui ne passe pas et qui l'oblige a aller passer une multitude d’examens médicaux. Mais les résultats de tous ces examens ne révèlant rien d'anormal, le narrateur commence à se faire à l'idée que le problème est peut-être d'ordre psychologique. Il en a "plein le dos", dans tous les sens du terme.

Alors que sa vie coulait tranquillement, un collègue de boulot lui tend un piège qui va le mettre en porte à faux vis-à-vis de son responsable. Le narrateur va alors utiliser une mauvaise solution, la violence. Sa vie de couple également n'est pas si tranquille. Alors que son beau-père vient de mourir, sa femme lui annonce qu'elle le quitte. Et ses enfants aussi vont s'y mettre en lui faisant des reproches.


Bref tout est en train d'exploser. Le narrateur va alors changer de vie, écouter son corps et sa douleur et essayer de trouver tous les "noeuds" qui lui ont déclencher ses douleurs dorsales.

"Je vais mieux" est le roman d'une remise en question. Le narrateur va opérer une remise en question de ce qu'était sa vie jusqu'à maintenant, sur son parcours, ses agissements, ses comportements et essayer de trouver à quel moment dans le passé des événements ont pu jouer sur sa vie actuelle.

Bon, ben, franchement, je n'ai pas aimé ce roman non plus. Le style m'a semblé vraiment pas et le sujet finalement assez banal. Facile à lire, il m'a fallu tout de même me pousser au cul pour le finir.

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